Sortie rencontre match de Rugby.

3 - Tournoi des VI Nations - Rome (Italie).

 

13 au 16 mars 2015.

 

Après Cardiff, je me suis laissé tenter pour renouveler l’expérience d’un autre match du tournoi des VI nations dans une autre ville européenne. Le choix s’est porté pour Rome avec toujours la même équipe de joyeux drilles de l’an dernier, complétée, entre autre, par Albert pour qui ce sera le baptême de l’air ! Bons moments et franches rigolades assurés tout le long du séjour !

 

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(5 pages)

Galerie photos
Catalogne

 

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Vendredi 13 mars 2015.
Toulouse (31) - Cassagnes (66) - Latour de France - Salses - Rivesaltes – Barcelone (Espagne) - El Prat de Llobregat.


Me voici parti pour ce week-end qui promet d’être très chargé !
Première étape : Cassagnes.
Je pars rapidement de Toulouse à 12 H 30 et arrive au village vers 14 h 45.
Il me reste à peine un quart d’heure pour rejoindre une partie des membres du conseil municipal et les responsables d’Agly-Verdouble d’Estagel pour une réunion afin de préparer la Dionysiade 2015 qui se déroulera en mai à Cassagnes.
Après deux heures constructives, je pars à 17 h pour une deuxième réunion avec Daniel afin de préparer l’exposition photos de la semaine prochaine à propos du barrage sur l’Agly. Et oui, pas le temps de souffler !
A 18 h 15, c’est le départ pour la deuxième étape : Barcelone.
Je prends la C4, passe prendre Albert, filons à Latour chercher Christian puis direction Salses pour prendre au passage Laurent, alias "Pupu", avant de rejoindre le reste de l’équipe au péage de Rivesaltes.
Nous y arrivons à 19 h tapantes et nous n’en retrouvons qu’une partie car la 2ème voiture n’est pas encore là. Après appel au téléphone, il s’avère qu’ils seront très en retard et nous nous retrouverons plus tard.
Nous prenons donc l’autoroute direction l’Espagne.
La nuit, la pluie, des camions en file indienne et pour finir, des travaux jusqu’à la frontière font que la route est pénible dès le départ.
Passés la Junquera et sur l’autoroute AP-7, ça s’arrange et vers 20 h 35, au km 85, on fait une pause pour manger un morceau à l’aire de service de La Selva, à environ 60 km avant Barcelone.
On choisit au plus simple et on opte pour un "Burger King". Pas très diététique mais tant pis.
La 3ème voiture nous rejoint et nous repartons ensuite vers Barcelone.
La traversée de la capitale catalane se fait sans problème et nous arrivons à "l’albergue Centre Esplai", l’auberge Centre Esplai, dans la ville d’el Prat de Llobregat, tout proche de l’aéroport.
Notre vol pour Rome étant plutôt de bonne heure demain matin, l’idée était d’être sur place afin de se reposer avant le week-end.
C’est Dimitri qui a trouvé cette auberge sur le web et le quartier semble plutôt récent mais pas très coquet, ni sûr. Ça ne donne pas envie de s’y balader à pied et tant mieux que l’on puisse garer la voiture dans un parking sécurisé.
A l’intérieur de l’auberge, tout est neuf et très grand.
Dimitri a réservé 2 piaules de 6 places, un dortoir avec lits superposés qui rappellera pour certains les auberges de jeunesse ou les refuges de montagne.
On s’installe tranquillement puis on cherche un endroit dans les locaux pour aller boire un verre mais il n’y a pas de bar, seulement des distributeurs sans alcool. On s’en contentera !
A minuit, tout le monde regagne sa chambrée et extinction des feux.

Demain, la journée va être longue !

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Samedi 14 mars 2015.
El Prat de Llobregat - Aéroport (BCN) Barcelone - El Prat - Aéroport (FCO) Rome Léonard de Vinci - Fiumicino (Italie) – Rome - Cité du Vatican (Vatican).


Réveil à 6 h 30.
J’ai mal dormi mais ça peut aller contrairement à d’autres qui ont subi les assauts répétés des ronflements de l’ami "Pupu".
De mon côté, prévoyant, j’avais amené les boules "Quies", donc je n’ai pas trop été gêné.
Pour les commodités, à six dans le dortoir, il faut s’organiser mais tout se passe bien et nous descendons pour le petit-déj à 7 h 30 pile.
Le buffet est très simple mais correct et finalement, c’est un bon plan à retenir pour une prochaine fois.
A 8 h 30, on est tous prêts et c’est le départ pour l’aéroport.
En à peine 15 mn, nous sommes déjà sur place et les voitures sont garées au parking du terminal 1.
A partir de maintenant, je chaperonne Albert car c’est la première fois qu’il prend l’avion et il est totalement paumé dans cet univers inhabituel, normal !
Contrôles Ok et embarquement à l’heure dans un A320 de la compagnie Vueling.
C’est la première fois que je voyage avec eux et pour une compagnie "Low Cost", elle n’est apparemment pas trop mal et ce malgré les petits problèmes de réservation en août.
Il y a plein de jeunes dans l’avion, un peu bruyants mais cela nous met dans le bain en prévision de ce week-end festif !
Départ à 9 h 50 et arrivée sans problème à 11 h 30 à l’aéroport de Rome Fiumicino.
Très vite, on se retrouve à la sortie et le choix se pose sur le moyen de transport pour rejoindre le centre ville.
Il y a le train ainsi que des chauffeurs privés mais on choisit de prendre le bus pour seulement 5€ avec l’une des compagnies présentes. Ce sera pour nous la "Terravision".
Départ 11 h 55 et arrivée le long de la gare de Roma Termini. Il fait beau pour le moment mais vu la couleur du ciel, cela risque de ne pas durer !
A l’aide d’un plan, nous partons à pied jusqu’à notre hôtel, situé Via Dei Serpenti.
Ce n’est pas très loin et nous arrivons à destination au bout d’une petite demi-heure après être passés devant la Piazza dell'Esquilino, une belle place donnant sur le chevet de la basilique Santa Maria De Maggiore et l'obélisque de l'Esquilin.
Arrivés à l’hôtel, on apprend que notre appart-hôtel n’est pas ici mais situé à quelques rues derrière. Pas de soucis mais il nous faut continuer encore à pied alors qu’une légère pluie fine commence à tomber.
Notre logement se trouve Via Leonina, juste devant la station de métro "Cavour", que je connais bien car elle était la plus proche de mon hôtel en 2013.
Une fois installés, on cherche un endroit dans le coin pour manger un morceau mais il est bientôt 14 h et la plupart des restos ne servent plus.
Avant de se résigner à nouveau pour un "Fast Food", on tombe sur le "Tavernelle", Via Panisperna où l’on est très bien accueillis.
Après une bonne "Moretti", une bière italienne, je prends au menu des spaghettis à la Carbonara accompagnés d’un très bon vin et une glace en dessert. Super ! et tout le monde s’accorde à dire que c’est une bonne adresse avec un prix raisonnable !
Nous sortons du resto à 15 h 45 et il nous reste quelques heures pour se balader dans le quartier ou ailleurs.
Nous décidons d’aller tout d’abord au pied du Colisée que l’on aperçoit au bout de la rue. Il n’est vraiment pas loin et ce serait dommage de ne pas s’y arrêter.
On reste finalement peu de temps devant cet immense édifice et on discute sur le choix d’un autre endroit où aller.
Sans que cela soit l’enthousiasme général, on se décide tout de même pour aller sur la place St Pierre. Gerald préfère rentrer à l’hôtel se reposer et à 16 h 30, nous prenons le métro à la station "Colosseo", changeons à "Termini" et descendons à la station "Ottaviano".
On rejoint la place St Pierre sans problème d’autant plus que je connais le chemin !
Devant la Basilique, il y a la queue pour rentrer mais par expérience, je me souviens que cela était rapide contrairement aux musées du Vatican.
Ça ne tente pas grand monde mais Albert tient à y aller et je décide de rester avec lui ainsi que "Pupu" et Dimitri.
Comme prévu, nous ne restons pas longtemps à attendre et à 18 h, nous sommes à l’intérieur de la Basilique.
C’est toujours aussi grandiose et on reste un bon moment à admirer en silence toutes ces sculptures et ornements qui décorent la basilique.
Mais déjà, je commence à avoir mal aux canes et je baille à m’en déformer la mâchoire … Ça promet pour la fin de journée !
En sortant, il commence à faire nuit et les lumières sur la façade de l'édifice rendent le lieu encore plus majestueux. C'est la troisième fois que je me rends à St Pierre mais la première fois de nuit.
Avant de partir, on s'arrête un petit moment à la Poste Vaticane, histoire d'envoyer quelques cartes postales avec un timbre et le tampon du Vatican puis, c'est le retour en métro par le même chemin jusqu’à l’hôtel et on retrouve toute la bande vers 19 h 30.
Repos, bavardage, détente puis avant de sortir, on s’accorde un premier apéro tous ensemble avec deux bouteilles de blanc et des gâteaux secs que Philippe est parti chercher dans une épicerie du coin.
Tout va bien et à peine une demi-heure après, on commence notre soirée qui, j’espère, ne sera pas trop épuisante. Pas gagné !
L’idée est de rester dans un premier temps dans le quartier dans la mesure où l’on ne se sait pas trop où aller ensuite.
Toujours dans la Via Leonina, on tombe de suite sur le "Finnegan Irish pub", un pub irlandais pour un apéro-bière. On y reste jusqu’à 22 h puis on continue à pied à la recherche d’un resto.
Nous sommes nombreux et vu l’heure, pas facile d’en trouver un qui a de la place.
Finalement, dans la Via Degli Zingari, située juste derrière, on s’arrête au "Chicco di Grano", une pizzéria dont le cadre a l’air sympa.
Il faut attendre un peu et pour patienter, Marco nous conseille de prendre un "Spritz", composé de vin blanc pétillant, d’eau gazeuse et d’Apérol. C’est un peu amer mais pas mauvais.
A table, je prends une pizza, normal on est en Italie, mais elle n’est pas terrible. Dommage.
Quelques-uns d’entre nous se renseignent auprès du serveur, qui est Français, sur d’éventuels lieux sympas pour passer le reste de la soirée.
Apparemment, il les renseigne bien car à peine sortis du resto vers 0 h 15, on se laisse guider par Marco et on prend de suite le métro à la station "Cavour" pour descendre à "Piramide", trois stations plus loin.
On est dans le quartier Ostiense, dans le sud de Rome et on constate rapidement dehors qu’il n’y a pas grand-chose d’ouvert.
Marco se renseigne à droite et à gauche auprès de passants mais il n’y a vraiment rien dans ce quartier.
Arrivés sur la Piazza del Gazometro, on est 5 à vouloir rentrer car on est fatigués et cela ne nous dit rien de continuer à chercher. Pour ma part, étant allergique aux clubs et boites de nuit, ça m’arrange plutôt bien !
Au retour vers le métro, on s’arrête chez un glacier Via Ostiense, la Geleteria "La Romana", proposant un nombre inouï de parfums et pour un prix vraiment modique.

On se laisse tenter chacun pour un cornet à 4 boules pour seulement 5€. Miam !
Arrivés à la piaule à 1 h 30 du matin, on bavarde un peu et tout le monde au lit à

2 h.

La journée a été plutôt bien remplie et celle de demain le sera probablement tout autant !

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Dimanche 15 mars 2015.
Rome.


Réveil à 7 h 30. C’est un peu tôt après la courte nuit que l’on a passée.
La journée va être fatigante mais on tient tous à profiter de la matinée avec une balade au centre de Rome.
On ne part qu’à 5 car cette nuit, le reste de l’équipe a finalement trouvé une boite de nuit et Nicolas est rentré vers 5 h 30. Du coup on le laisse roupiller, normal.
Le temps est très couvert et il n’est pas impossible que l’on se fasse rincer avant la fin de la matinée.
La première pause à 8 h 30 est pour un petit-déj et on choisit le "Ciardi Bar - Pasticceria", un bar restaurant pâtisserie.
On ne reste pas trop longtemps, seulement une demi-heure, puis je fais le guide.
On commence par la Via Del Fori Imperiale où l’on peut apercevoir une partie du Forum puis atteignons la Piazza Venezia et enfin la Piazza Del Campidoglio avec en contrebas, sa superbe vue sur l’ensemble du Forum Romain.
Vers 10 h, retour par la Piazza Venezia et la pluie commence à tomber, c'était malheureusement prévu, puis nous continuons par la Via Del Corso pour arriver à la fontaine de Trevi sous la flotte.
Pas de bol sur ce coup là car en plus de la pluie, la fontaine est en pleins travaux et elle est interdite d'accès aux abords.
Vu l'heure, on se décide de rentrer vers l’appart et on rejoint le reste de l'équipe, cette fois-ci bien réveillée.
Il est temps maintenant que tout le monde se prépare pour le match et mes amis ont tous revêtu leur déguisement de "Super Français" : cape blanche, costume et perruque "bleu blanc rouge". Moi, bien entendu, je tente de rester le plus discret possible et n'aborde que le béret.
A midi, on prend le métro direction la station "Flaminio" où l'on doit prendre ensuite le tram pour se rendre au stade.
A la sortie de la station, nous sommes devant la Piazza del Popolo, dans la rue Flaminia et en attendant le tram de la ligne N°2, les "Super Français" font l’attraction devant les passants amusés.
Avant d'aller au stade, on se décide d’aller manger un morceau dans le coin et on opte pour le "Pollo a la brasa", un resto Latino-americain avec ambiance péruvienne. Ça fera l’affaire.
Après un bon poulet, on sort du resto vers 13 h 30 sous une pluie battante et je me décide rapidement à acheter un pébroc à un vendeur ambulant car je sens que cela va durer !
Le quai à destination du Stade Olympique est bondé, logique, et on tente de prendre le premier tram tandis que la pluie continue de tomber à verse.
Nous arrivons au stade à 14 h et filons à la première buvette pour s'abriter.
Bière, pluie, bière, pluie sont au programme en ce début d'après-midi mais les "Super Français" font sensation avec leur déguisement et c'est le succès assuré !
Côté animations, les organisateurs du tournoi ont installé une petite scène où des groupes se produisent et cela nous permet de patienter agréablement musicalement mais toujours sous cette foutue pluie.
A 15 h 20, on entre enfin dans le stade et oh ! miracle, la pluie a enfin cessé !
Habituellement, c’est au stade de Flaminio que se déroulent les épreuves du tournoi des VI nations à Rome mais depuis quelques années, c’est ici au Stade Olympique qu’elles ont lieu à cause des travaux de rénovation du Flaminio.
On constate de suite que nous sommes bien placés contrairement à Cardiff, ce qui est très bien pour suivre le match au plus près des joueurs.
Une heure et quelques bières supplémentaires après, c’est le début du match sans pluie pendant la 1ère mi-temps.
A la seconde mi-temps, elle recommence à tomber, légèrement, mais ce n’est pas bien méchant car nous sommes un peu protégés par le toit du stade.
Lors des pénalités ou transformations pour la France, on a le droit par deux fois à un passage en direct sur les chaînes de télé. Cela ne dure que 2 secondes mais les "Super Français" sont vus dans l’Europe entière !
A la fin du match, il ne pleut plus du tout ce qui nous permet, une fois sortis, d’assister à de nouveaux concerts sur scène et avec toujours autant de succès pour les "Super Français".
Après une bonne heure de folle ambiance, retour en tram vers le centre-ville alors que la pluie recommence à tomber.
Il est 20 h 15 quand on reprend le métro à la station "Flaminio" pour rejoindre "Cavour".
De retour à l’appart, tout le monde se change, sauf moi bien entendu et la fatigue commence à se faire sentir pour nous tous après ces deux jours.
On décide tout de même d’aller manger un morceau, pas trop loin, pour terminer agréablement notre séjour à Rome.
Seul Denis est resté dans sa chambre, visiblement exténué et on descend à 21 h 45 juste en bas, toujours dans la rue Leonina, au resto, "Il Ragno D'oro".
Je prends une escalope avec des frites et le tout n’est pas terrible mais tant pis, cela fera l’affaire.
Retour dans la piaule à 22 h 35 et au lit rapidement pour tout le monde.

Demain, le réveil va sonner de bonne heure !

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Lundi 16 mars 2015.
Rome – Aéroport (FCO) Rome Léonard de Vinci – Fiumicino - Aéroport (BCN) Barcelone - El Prat (Espagne) – Barcelone – La Junquera – Salses (66) – Latour de France – Cassagnes – Toulouse (31).


Comme prévu, réveil à 5 h 30 mais je m’attendais à pire au niveau fatigue.
Il fait encore nuit quand les deux taxis viennent nous chercher à 6 h 30 et à peine sortis du centre ville, des trombes d’eau s’abattent sur la route nous menant à l’aéroport.
Nous y arrivons à 7 h et après les contrôles habituels, on s’offre une pause café pour patienter jusqu’à l’embarquement avec un départ prévu à 8 h 35.
Contrairement à l’aller, notre vol de retour s’effectue par Ryanair car les horaires avec Vueling n’étaient pas idéals. Là, effectivement, dans ce Boeing 737, c’est du vrai "Low cost" avec le strict minimum de confort mais pour un peu plus d’une heure, on s’en contentera !
Décollage avec 20 mn de retard, toujours avec la pluie, puis vol sans problème jusqu’à notre arrivée sur Barcelone à 10 h 25 avec en prime, une belle vue sur la ville et le port.
A la sortie, il faut maintenant rejoindre l’autre terminal car Ryanair est au T2 alors que nos voitures sont garées au T1.
Pour ce faire, on prend une navette qui nous promène d’un bout à l’autre de l’aéroport et une fois rendus, on récupère nos véhicules puis c’est parti pour à nouveau deux heures de route vers la frontière. Pour un lundi matin, la traversée de Barcelone se passe plutôt bien et il fait beau ce qui n’est plus le cas ensuite sur l’autoroute où il pleut par intermittence jusqu’à la Junquera.
Là, on décide de s’arrêter pour le déjeuner et on choisit d’aller au nouveau buffet libre du centre commercial "Escudero".
Pour 16€, on a le droit aux plats et boissons illimités. C’est incroyable de voir tous ces buffets à perte de vue et tout à volonté. C’est tentant de ne pas résister mais on reste raisonnable, dans l’ensemble, contrairement au nombre de gloutons que l’on voit s’empiffrer autour de nous.
C’est intéressant de voir que ce genre d’établissement existe mais cela ressemble plutôt à un immense réfectoire et ce n’est pas trop pour moi.
La fatigue commence à nous gagner et une heure après, nous décidons de reprendre chacun notre route.
Après un au revoir à une partie de l’équipe, c’est le retour vers Cassagnes après avoir déposé "Pupu" à Salses puis Christian à Latour.
On arrive avec Albert au village à 16 h, fatigués mais contents de notre séjour.
Pour ma part, ce n’est pas encore tout à fait fini car je dois continuer à préparer l’expo du week-end prochain puis après souper, reprendre la route et rejoindre tout de même mes pénates à Toulouse !
Voilà un long week-end bien sympa qui se termine et qui s’est très bien passé malgré une météo capricieuse.

L’an prochain ? Peut-être Edimbourg en Ecosse, alors affaire à suivre !